Sahih Al- Bukhari (4 Tomes) d’après Al-Hafid Al-Boukhari

Référence : 9782911546907

Sahih Al- Bukhari (4 Tomes): Le Sahih al-Bukhari signifie « l'authentique de l'imam Al-Bukhari » et est l'un des six grands recueils de hadiths. La plupart des musulmans sunnites le considèrent comme le livre le plus authentique après le Coran 1,2 et comme l'une des trois sources hadith les plus fiable avant le Sahih Muslim et Al-Muwatta de l'imam Malik.

80,00 € (TTC)

Fiche technique

Reliure : Rigide
Auteurs : Al Hafidh al Boukhari
ANNEE : 2013
SUPPORT: - : Livre
THEME : - : Le Hadith
Éditions : Universel
Condition : - : Neuf
Nombre de Pages : - : 1059
FORMAT (CM) : : 17 x 24.5
Poids (kg) : - : 1.519
EAN13 : - : 9782911546907

Plus d'informations -

L'imam Al-Boukhârî est l'auteur de nombreux livres, mais le plus connu est le Sahîh Al-Boukhârî - Al-Jâmi'us-Sahih- qui est un recueil de hadîth.

 

Son livre contient 7 275 Hadîth avec répétition et environ 2 230 sans répétition.

 

Beaucoup de savants musulmans ont essayé de trouver une faille dans cette grande et remarquable collection, mais sans succès. C’est pour cette raison qu’il est établi chez les savants sunnites à l'unanimité que le livre de hadith le plus authentique est le Al-Jâmi'us-Sahih.

 


Al-Bukhari connaissait 300.000 hadiths avec leurs chaînes de transmissions.

 

Il collectionna 600.000 hadiths dont il retira son fameux Al jami’us-Sahih.

 

L’imam était tellement réputé pour sa mémoire, que les savants de Bagdad auraient décidé de le tester4. Ils lui auraient cités cent hadiths erronés avec des chaînes de transmissions volontairement manipulées. A leur grand étonnement, al-Bukhari non seulement aurait retenu les quelque 100 hadiths avec leurs erreurs, mais les aurait corrigés scrupuleusement l’un après l’autre avec plusieurs chaînes de transmissions.

 

il tomba malade sur le chemin de Samarcande ou il est actuellement enterer. Avant de mourire on lui rapporte qu'il est dit qu’une fois, après la prière d’al-ishâ, il invoqua le secours de Dieu en ces termes :

 

" Seigneur ! La terre, toute spacieuse qu’elle soit, s’est rétrécie autour de moi ! Reprends moi vers Toi Seigneur ! "

 

Il mourut le mois même, la veille de l’Aïd al-Fitr, c’est-à-dire pendant la dernière nuit de Ramadân de l’an 256 de l’hégire (870 après J.-C.), à l’âge de soixante-deux ans

Sahih Al- Bukhari (4 Tomes) d’après Al-Hafid Al-Boukhari:

Au nom d'Allah, le Très Miséricordieux, le Tout Miséricordieux ; louange à
Allah le Seigneur des univers, et que la prière et le salut soient sur le plus
noble des messagers, sur sa famille et tous ses compagnons ; qu'Allah soit
satisfait de tous ceux qui sont venus après les compagnons, ceux qui sont
venus après eux et tous ceux qui les suivent dans la voie de la bienfaisance,
jusqu'au Jour de la résurrection.

L'imam Qotayba Ibn Sa'id a dit : « J'ai fréquenté les jurisconsultes, les
dévots et les ascètes, et je n'ai jamais vu - depuis que je suis majeur - un
homme comme Mohammed Ibn lsmaëI. Il était, parmi ses contemporains,
comme 'Omar au milieu des compagnons et, s'il avait vécu parmi les
compagnons, il aurait été un exemple >>.

Cela dit, le meilleur des discours est le Livre d'Allah et la meilleure des
guidances est celle de notre maître Mohammed (SWS) ; les plus néfastes des choses
sont les innovations ; toute innovation est une hérésie et toute hérésie est un
égarement.

Nul doute que le noble hadith prophétique a obtenu toute l'attention et toute la
sollicitude de ceux qui goûtent sa saveur sur le plan du savoir et de la pratique,
ceux qui éprouvent les pires difficultés et épreuves pour le transmettre aux
gens et les exhorter à s'y conformer, à mettre en application ses préceptes et à
s'imprégner de ses vertus.

Celui qui observe l'attention et la rigueur qui ont
accompagné la transmission du hadith, depuis les débuts de sa réception à
travers 1'enseignement jusqu'à sa codification dans les recueils authentiques
(Sahîhs) en passant par sa mémorisation dans les cœurs et dans les registres,
ne peut être effleuré par aucun doute quant à l'authenticité de sa chaîne de
transmission et son exemption de tout défaut.

Bien plus, il ne peut qu'être
assuré et confiant dans l'authenticité de ces hadiths et dans la solidité de leurs
références, comme l'étaient les ancêtres ; cette assurance et cette confiance
sont d'autant plus garanties que la science du hadith repose sur des critères très

strictes basés sur la science de la récusation et de la révision, dont les

musulmans en sont les seuls dépositaires. En outre, Allah n'a jamais laissé

une époque sans susciter celui dont la tache est de protéger les deux sources de

la législation musulmane : le Coran et la sounna.

 

Allal El-Fâsi, a dit à ce sujet : « Parmi les marques de la sollicitude d'Allah

pour Sa religion et Sa Loi, est qu'Il leur a suscité à chaque époque ceux qui les

protègent et les préservent fidèlement.

 

Premièrement : la biographie sommaire de l'imam El-Boukhâri :

 

Le recueil de la sounna qui a connu la plus grande des attentions est le

« Djâmi' El-Mousnad Essahîh » de l'émir du hadith et de sa science dans le

passé et le présent, Abî 'Abdallah Mohammed Ibn Ismaël Ibn Ibrahîm El-

Moughîra El-Boukhâr, allusion à la ville de Boukhâra à huit jours de marche

de Samarkand, où il est né le dix du mois de Chawwâlen 1'an 194 de l'Hégire.

Il fut élevé dans l'ascétisme, le scrupule et le sentiment permanent d'être

observé par Allah que ce soit dans le secret ou publiquement de même que par

le souci de toujours se nourrir de choses licites. Il s'est inspiré en cela et l'a

hérité de son père qui était un des savants scrupuleux de son temps. Ahmed

Ibn Hafs a dit à ce sujet : «  Je suis entré chez Abî El-Hasan Ismaël Ibn Ibrahîm

au moment où il était à l'article de la mort, et il m'a dit : « Je n'ai aucun

dirham douteux dans mes biens ».

 

Son père est mort et 1'a laissé un tout petit enfant dans le giron de sa mère. Son

intelligence et son ingéniosité sont apparues précocement et son intérêt pour la

science du hadith s'est manifesté alors qu'il n'avait que dix ans. A l'âge de

seize ans, il apprit les livres d'Ibn El-Moubârak et de Wakî' Ibn El-Djerrâh,

puis il partit avec son frère Ahmed qui était son aîné ainsi que leur mère pour

accomplir les rites du pèlerinage à la Mecque. Mais lorsque son frère retourna

à Boukhâra, il décida, lui, de rester à la Mecque pour acquérir la science du

hadith. Parvenu à l'âge de dix-huit ans, il composa un livre consacré aux

compagnons et à ceux qui les ont suivis ainsi qu'à leurs maximes ; il composa

aussi le livre « Ettarîkh El-Kabîr » à la mosquée du Prophète ffi. I1 a dit au

sujet de ce livre: « Pour chaque nom dans l'histoire j'avais un récit, mais j'ai

voulu éviter que ce livre soit prolixe. »

Ses oeuvres :

 

L'intelligence d'El-Boukhâri et son aptitude à l,écriture ont commencé

précocement ; ses æuvres ont atteint re nombre de vingt, dont nous citerons :

 

1. Kitâb Qadhâya Essahâba oua Ettâbi'ine oua Aqâwilahoume )).

2. Kitâb Eftarîkh Et-Kabîr (édité).

3. Kitâb Ettarîkh El-Awsat (édité sous le nom d,Ettarîkh Essaghîr).

4. Kitâb Ettarîkh Essaghîr (perdu ou confondu a.ec le livre des hadiths

 

19. Kitâb Eddhou'âfa Oua El-Matroukîne (édité).

20. El-Djâmi' El-Mousnad E,ssahîh El-Moukhtasar. C'est le livre auquel

nous consacrons cette introduction.

 

Sa mort et les éloges des savants à son sujet :

 

Sa mort : Ce monument de la science du hadith est mort dans la nuit du

samedi, après la prière de la nuit, la veille de la fête de la rupture du jeûne, de

l'an deux cents cinquante-six de l'Hégire (256H), dans un village de

Samarqand du nom de Khartanq.

 

Les éloges des savants à son sujet : Les savants sont unanimes à faire son

éloge aussi bien de son vivant qu'après sa mort. Ibn Hadjar a dit dans "El-

Hady Essâri": "Si on ouvre aux savants les portes des éloges à son sujet (c-à-d

El-Boukhâri), les cahiers ne suffiraient pas et les âmes passeraient, car il s'agit

là d'un océan qui n'a pas de tavage".

 

Voici d'autres témoignages de savants à son sujet :

 

Qotayba Ibn Sa'id a dit: "J'ai fréquenté les jurisconsultes, les dévots et les

ascètes, et je n'ai pas vu - depuis que je suis majeur - un homme comme

Mohammed Ibn Ismaël. Il était, parmi ses contemporains, comme 'Omar Ibn

El-Khattâb au milieu des compagnons et, s'il avait vécu parmi les

compagnons, il aurait été un exemple".

 

De son côté, Mohammed lbn Béchâr, le maître d'El-Boukhâri et de Moslem, a

dit : "Les houffâdh (mémorisateurs de hadiths) sont au nombre de quatre :

Aboû Zar'a dans le Ruyy, Moslem à Nishapoûr, Eddârimi à Samarqand et El-

Boukhâri à Boukhâra".

 

"El-Boukhâri est le plus savant de ces quatre, le plus perspicace et le plus aïgu

d'esprit" précise '41î Ibn Hadjar.

 

Pour sa part, Ahmed Ibn Hanbal a dit : "Le Khorâsan n'a jamais produit un

homme pareil à Mohammed Ibn Ismaël". Tabaqât El-Hanâbila,ll277.

 

Quant à l'imam Ettermidhî, il a dit : "Je n'ai jamais vu en lraq ni au Khorasân,

dans les domaines des défectuosités du hadith, dans l'histoire et dans la

connaissance des chaînes de transmission, un homme aussi savant que

Mohammed Ibn IsmaëI". In L'histoire de Baghdad,2127 .

 

De son côté, El-Fellâs a dit : "Tout hadith qui n'est pas connu d'El-Boukhâri

n'est pas un hadith".

 

Il a été transcrit dans la mosquée sacrée.

A chaque fois qu'El-Boukhâri transcrivait un hadith, il faisait une

prière de consultation (istikhâra) de deux génuflexions, puis il

s'assurait de son authenticité. Son élève El-Farbarî a dit :

« Mohammed Ibn Ismaël m'a dit : « Je n'ai jamais transcrit un hadith

dans mon recueil, sans avoir fait au préalable une prière de deux

génuflexions, en espérant qu'Allah m'accorde Sa bénédiction ».

Lorsque un hadith authentique s'oppose avec un autre hadith

semblable, il le choisit en dehors de l'autre.

El-Boukhâri n'a cité que les imams de la première catégorie, parmi les

traditionnistes.

Sa chaîne de transmission a ceci de particulier que tous ses

transmetteurs qui ont transmis de la part de son maître ont été ses

contemporains ou l'ont rencontré au moins une fois.

Les hommes de sa chaîne de transmission qui sont sujets à des

critiques, sont très rares par rapport à d'autres.

El-Boukhâri a cité dans ce recueil béni tout ce qui a été rapporté

comme hadiths authentiques de la part du Prophète (SWS), avec les chaînes

de transmission qui se caractérisent par f intégrité et l'esprit méticuleux

de leurs transmetteurs, évitant tout excès et tout défaut, et se contentant

des hommes de la seule première catégorie. Il a dit à ce sujet : «  J'ai

composé ce livre c'est-à-dire El-Djâmi' Essahîh - à partir de

quelques six cents mi1le hadiths ». Son élève Mohammed Ibn

Hamwiyya El-Hamaoui, a dit de son côté : « J'ai entendu Mohammed

Ibn Ismaël dire : « Je mémorise cent mille hadiths authentiques et deux

cents mille hadiths non authentiques ».

Sa répétition de certains hadiths est utile soit sur le plan de la

jurisprudence soit sur celui du hadith, puisqu'il rapporte parfois un

hadith dans un contexte précis et parfois il le répète dans un autre

contexte différent, ce qui démontre ses connaissances en jurisprudence

et son habileté à déduire plusieurs avantages d'un seul hadith, ce qui

n'apparaît pas visiblement à première vue. En outre, il répète parfois le

même hadith mais avec une autre chaîne de transmission ou avec

d'autres avantages dans la chaîne, comme par exemple la mention du

suftlom ou du nom, l'explication d'une chose confuse, etc.

Sa division en plusieurs livres qui ont atteint le nombre de cent et

quelques tomes, de même qu'en plusieurs chapitres qui aident le juriste

à déduire facilement des règles juridiques et qui ont atteint le nombre

de trois mille quatre cents cinquante chapitres. Dans ces chapitres, il y

a une science considérable. L'imam Ennawaoui a dit à ce sujet : « Son

 

intention, en écrivant ce livre, n'est pas de mentionner des hadiths et de

multiplier les chaînes de transmission, mais d'en déduire des règles et

d'en tirer des arguments pour des chapitres qu'il avait choisis à partir

des questions principielles, des questions subsidiaires, de l'ascétisme,

de la morale, des exemples et autres sciences.

- Pour ce faire, il a enlevé à beaucoup de chapitres toute référence aux

chaînes de transmission en se contentant de mentionner : " D'après un

tel compagnon, d'après le Prophète (SWS) ou d'après le hadith

d'untel ". En outre, il mentionne au début des chapitres de nombreux

versets coraniques et, dans d'autres chapitres, il se contente seulement

de les mentionner sans leur ajouter quoi que ce soit. Par ailleurs, il

mentionne aussi de nombreuses choses concemant des avis religieux

des compagnons et de ceux qui les ont suivis, en fonction du besoin du

lecteur.

- Le Sahîh d'El-Boukhâri a une particularité d'une grande importance au

sujet de laquelle le Dr Noureddine 'Atar a dit : « Il s'agit du soin

apporté par l'imam El-Boukhâri à la mise en exergue de la

jurisprudence du hadith et des avantages qui en résultent, au point où il

va jusqu'à répéter le hadith, le couper ou le disperser au gré des

chapitres pour en déduire de nouveaux avantages ou des règles de

sagesse spécifiques à ces chapitres, bien qu'il ne fasse pas de répétition

réelle, puisque à chaque fois qu'il mentionne le hadith, dans un

chapitre différent, il le répète avec une autre chaîne de transmission.

 

C'est pour cela que l'imam Eddahabî a dit : « Le Djâmi' d'El-Boukhâri est le

meilleur de tous les ouvrages de 1'Islam et le plus utile après le Livre d'Allah.

Et si quelqu'un fait un voyage de mille lieues, pour l'étudier, son voyage ne

sera pas vain ".

 

3. Les versions d'El-Djâmi' Essahîh :

 

El-Farbarî a dit : « Quatre vingt dix mille hommes ont appris le Sahîh de

l'imam El-Boukhâri de son auteur, et il ne reste que moi à le rapporter ». El-

Hâfedh Ibn Hadjar a dit de son côté : « El-Farbarî a dit cela sur la base de ce

qu'il avait comme informations, car Aboû Talha Mansoûr Ibn Mohammed Ibn

'Alî Ibn Qarîna El-Bazdaoui, a continué à le transmettre après lui pendant neuf

ans, puisqu'il est moft en l'an trois cents vingt neuf, alors qu'El-Farbarî est

mofi en l'an trois cents vingt ».

 

Quant à mon maître l'érudit Mohammed Ibn 'Abd El-Hâdi El-Mannounî El-

Hasanî il m'a dit : « Beaucoup de traditionnistes ont transmis directement

 

 

de la part de son auteur Mohammed Ibn Ismaël El-Boukhâri; ce recueil

authentique est parvenu au Maghreb musulman à travers deux voies :

 

A. La voie de Nasafi : Ibrahîm Ibn Ma'qal Ibn El-Hadjjâdj, mort  en 295H.

(e08 AJC).

B. La voie d'El-Farbarî: Mohammed Ibn Yoûsef Ibn Matar Ibn Sâleh,

mort en 320 H. (932 AJC). La plupart des versions sont parvenues par

sa voie.

 

Dans la mesure où la version d'El-Farbarî est la meilleure et la plus fiable de

toutes, j'ai vu qu'il est intéressant de l'étudier en détail, en dehors de autres,

par peur de m'étaler là-dessus.

 

Cependant, avant de faire cela, il est indispensable de procéder à une

connaissance de l'auteur de cette version, préalablement à la mention de la

 version et aux voies par lesquelles elle s'est ramifiée ainsi qu'à la clarification

des chaînes de transmission qui lui sont liées.

 

Oui est El-Farbarî ?

 

El-Farbarî est un des hommes de confiance et un moyen pour les musulmans

de connaître les paroles de leur Prophète &É. Il jouit d'une grande estime et

d'une éminente place auprès de son maître l'émir des croyants dans le

domaine du hadith, Mohammed Ibn Ismaël El-Boukhâri, puisque ce dernier lui

a confié le manuscrit originel qu'il avait transcrit de sa propre main, comme

l'ont rapporté de nombreux savants dans ce domaine, notamment le cheikh El-

Islam El-Hâfedh Ibn Hadjar El-'Asqalâni, dans son livre : « Feth El-Bâri Fî

Charh Sahîh El-Boukhâri ». El-Moustamlî, un des disciples d'El-Farbarî a dit :

,, J'ai fait une copie du livre d'El-Boukhâri de l'original qui se trouvait chez

,lohammed Ibn Yoûsef El-Farbarî ». Ce dernier était surnommé Aboû

'Abdallah et était originaire de Farbar. Ibn Rachîd Essabtî a dit : « Farbar est

une ville située sur les rives du fleuve de Djihoûn, du côté de Boukhâra ».

 

Quant à El-Farbâri, son nom complet est Mohammed lbn Yoûsef, Ibn Matar,

Ibn Sâleh, Ibn Bichr El-Farbarî. Il est né à Boukhâra en l'an 231 de l'Hégire et

est mort en l'an 320. D'après Ibn rachîd Essabtî, Abî Dharr El-Haraoui a dit :

, Abû 'Abdallah El-Farbarî est une autorité pour les musulmans en ce qui

concerne le livre d'El-Boukhâri ; sa célébrité est telle, qu'il est inutile de le

présenter « . In « «Ifâdat Ennasîh 14. »

 

De son côté, le maître de nos maîtres, 'Abd El-Hayy El-Kattâni a dit qu'il est

le plus crédible de ceux qui ont rapporté de la part d'El-Boukhâri et qu'il est le

dernier à avoir entendu le hadith de lui ».

 

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