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L'auteur Assani Fassassi, poursuivant son engagement après "Sursaut de l'Afrique qu'on achève," soulève dans "Le Péché du Pape contre l'Afrique" une question cruciale : "Que faire ?" La réponse proposée est claire : une rupture intelligente, mais catégorique, avec les institutions occidentales, souvent désignées à tort comme institutions internationales. Inspirée par la demande européenne d'une exception culturelle face aux États-Unis depuis les années 1990, l'Afrique doit revendiquer et obtenir diverses exceptions (culturelles, académiques, sportives, économiques, monétaires, commerciales, juridiques, politiques, diplomatiques, touristiques, humanitaires, etc.) pour mettre les Africains et l'Afrique à l'abri des assauts institutionnels de l'Occident. Ce doit être l'objectif majeur que l'Afrique et les Africains se fixent, même si sa réalisation exige du temps. Il est impératif que les Africains décident et déterminent les modalités pratiques pour boycotter et refuser la validité des règles et lois prétendument internationales sur le sol africain, sachant qu'elles proviennent des Codes Noirs et de Napoléon, rétablissant l'esclavage et la traite négrière transatlantique en 1802. Assani Fassassi souligne que tant que l'Occident régnera sur les Africains par ses institutions nationales et internationales, ces derniers resteront des "damnés de la terre." Il appelle à l'action, au renversement du rapport de force, rendant périlleuse la présence de toutes les institutions occidentales sur le sol africain, dont la mission, avouée ou dissimulée, est de perpétuer la "fatwa" inscrite dans la bulle du Pape Nicolas V du 8 janvier 1454, visant à "réduire [les Africains et les Noirs, partout dans le monde entier] en servitude perpétuelle."
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