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Découvrez "Lettre ouverte aux prétendus soufis" de Sharani, traduit de l'arabe par H. Redouane. Ce texte expose avec perspicacité la déformation contemporaine du soufisme, soulignant le détournement de ses principes par certains au profit de leurs propres intérêts. Une lecture indispensable pour quiconque s'intéresse à la spiritualité et cherche à comprendre les défis auxquels est confrontée cette tradition millénaire.
Auteur: Sharani
Traduit de l'arabe par: H. Redouane
Éditions: i
Découvrez "Lettre ouverte aux prétendus soufis" de Sharani, traduit de l'arabe par Hamid Redouane. Ce recueil met en lumière une tendance contemporaine où le soufisme est dénaturé et utilisé à des fins personnelles plutôt que pour la purification spirituelle. Sharani, figure éminente de l'islam, offre une critique perspicace de ceux qui se servent du soufisme pour échapper à l'introspection. Ce texte, écrit au Xème siècle, résonne avec une pertinence surprenante aujourd'hui, offrant une réflexion précieuse sur la signification intérieure de l'islam. Un ouvrage indispensable pour toute personne intéressée par la spiritualité et la compréhension de l'islam.
Quatrième de couverture
Le soufisme, devenu tendance et « à la mode », tend à revêtir une apparence dérivée désormais des courants néospiritualistes actuels. Certains de ceux qui s'en déclarent les représentants tendent à le dissoudre dans le mouvement new age et ses dérivés. Qushayri déclarait, dès les premiers siècles de l'islam, que « le soufisme est mort ». On n'ose imaginer ce qu'il écrirait aujourd'hui et même se demander s'il écrirait tout court. S'il demeure encore des maîtres spirituels, il ne reste plus guère de disciples. Le présent recueil soulignait déjà voilà des siècles une tendance qui est devenue majoritaire aujourd'hui : se servir du soufisme pour se mentir à soi-même au lieu de lutter contre son ego et ses pièges. Ce sont ces nouveaux tartuffes du monde de la spiritualité, hypocrites et autres usurpateurs, dont il est question dans la traduction partielle de ce traité. En ce sens, il est d'une utilité permanente pour tous ceux qui s'intéressent à la spiritualité et veulent comprendre comment certains se servent d'un rattachement à une confrérie pour renforcer leurs travers confirmant que « rien ne brûle en enfer que le moi ».
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